:: connivence avec Belzébuth ::

conversation (quasi) hebdomadaire aux alentours de la stone zone
:: welcome to connivence avec Belzébuth :: bloghome | contact ::
[::..archive..::]
[::..recommended..::]
:: google [>]
:: plastic [>]
:: davenetics [>]

:: 7.9.03 ::

31 août 2003

OBJET: Nellcôte en exil

De séjour dans les environs, je suis passée par Villefranche sur Mer il y a quelques jours.
Le site est magnifique, mais malheureusement Nellcôte est beaucoup moins accessible (visuellement, ne parlons pas du reste) aujourd'hui : depuis le portail, redoré version flashy comme l'ange de la Bastille, sur les côtés une haie qui n'existait pas cache la maison (sans parler de l'arbre au tronc phénoménal planté dans le champ de vision).
Et depuis le vieux Villefranche, de l'autre côté de la baie, les pins parasols qui sont derrière la maison (côté mer) ont bien grandi et on ne voit pas grand chose non plus : juste le toit ! Mais finalement, ça contribue à donner une impression follement romantique et mystérieuse .
A défaut de voir grand chose, on devine l'atmosphère hautement inspirante qui se dégage des lieux. Nellcôte est une des folies architecturales dont le coin n'est pas avare, et que la mer met en spectacle. Toutes ne sont pas aussi pudiques, merci pour nous, pauvres badauds...
Le petit train Nice-Vintimille passe juste à côté, pour rappeler aussi cette histoire d'électricité piquée à la SNCF pour alimenter le studio mobile.
Mais le temps ne s'est pas arrêté, et je doute que Keith, lorsqu'il sortait envapé d'une nuit dans son sous-sol, ait eu la même vision bétonnée des collines au-dessus du vieux Villefranche qui prévaut aujourd'hui.
Allez, c'est beau quand même.


:: A dimanche, septembre 07, 2003 [+] ::
...

This page is powered by Blogger. Isn't yours?